La fin est venue beaucoup plus rapide que le début. Mais il n'y avait pas à s'y tromper.

Là, à l'Euro 2016, sur le, terrain tempéré humide au Stade de France, la plus grande dynastie dans l'histoire du football international a été mis au repos.

Le côté espagnol qui a perdu 2-0 à l'Italie en huitièmes de 16 lundi ressemblait peu à l'équipe qui avait pris dans le monde de la dernière décennie. Certains des visages étaient les mêmes, mais leur jeu était maladroit au lieu de clinique, laborieux au lieu de pousser doucement. Il n'y avait pas beaucoup furia, et il les a laissés voir roja, incapable de briser la forteresse défensive du positionnement et de la technique, les Italiens ont tous, mais les droits d'auteur.